Note : ce numéro achève le grand archivage de nos contenus opéré en avril 2022. Parce que la vie, toujours, s’en vient… même après l’aporie !
• Édito #3
• Aporia : un film-parabole d’Estienne Rylle. Initialement pensé comme expérimentation cinématographique centrée sur le vêtement, ce court métrage sans dialogue se meut, par son approche sensible et esthétique, en expérience poétique invitant à la conversation existentielle. Produit par imagoDei et Nuit Pure, ce film a été sélectionné au Short Film Corner du Festival de Cannes 2022.
• Aporia : un événement aux expressions multiples : entre exposition d’art, performances artistiques, tables-rondes et partages. C’était à Paris, en janvier 2022, pour lancer l’année autour du thème « APORIA : Face à l’insoluble »
• Aporia : une exposition d’art collective organisée dans le cadre de l’événement, en partenariat avec le collectif d’artistes La Fonderie. Pour explorer les différents visages et esthétiques de l’aporie.
• Aporia : un poème de Thierry Lemoine, présenté lors de l’exposition « Aporia : Face à l’insoluble » . Pour mettre des mots sur l’insoluble des relations et émotions humaines.
• Aporia : une pensée d’Elsie Pomier. « Le système de la mode est devenu l’indicateur moralisateur. Comme religion, il condamne nos excès. Mais en rien il ne nous libère. Il révèle juste le cœur de l’être humain. » Une pensée percutante sur notre société de la surconsommation et nos motivations intérieures.
• Aporia : une chanson Issu d’un podcast musical qui interroge le coeur de notre humanité, le titre « Necro » de Meak met des mots sur la mort et l’oppressante aporie qui l’accompagne.
• Aporia : un podcast… RENDEZ-VOUS EN JANVIER !
Découvrez ou redécouvrez nos autres contenus qui explorent différentes facettes de l’aporie, comme une série de remises en cause :
• Création et chute : la trilogie Bonhoeffer Une conversation musicale aussi passionnante qu’émouvante, au croisement entre la critique littéraire, la philosophie et la théologie.
• Série L’Anonyme : Une traversée dans notre culture, signée Jean-Michel Bloch, pour questionner sa manière de traiter le nom, le sans-nom, et ce faisant, chacun d’entre nous.
• À l’ère des algorithmes et des machines : le rôle de l’humain revisité et revalorisé, De la force d’être considéré, D’où nous viendra le secours ? et Le management par la Joie : une série de H.P. Rand-Rako pour questionner notre rapport au travail.
• Comment vivre dans un monde qui s’effondre ? (Édouard Vandeventer) pour questionner notre rapport à l’écologie.
• Le numérique : entre fardeau et liberté (Jean-Christophe Jasmin) pour questionner notre rapport aux smartphones et autres nouvelles technologies.
• Le temps ne nous appartient pas (Estienne) pour questionner notre rapport au temps
• L’émerveillement, accélérateur de bonheur (Marie Salomé Le Guehennec) pour questionner notre rapport à la maladie.
• Comment une épidémie a permis l’avancée du christianisme (Igniacio Cid Pozo) pour questionner notre rapport à l’histoire des religions.
• Une détox pour vos oreilles, vous y avez pensé ? (Meak) pour questionner notre rapport (ambivalent) à la musique et à la création.
• Série Qu’est-ce qu’être humain (Jean-Michel Bloch) pour questionner les horreurs que l’Homme peut faire à l’Homme ; non seulement pour le déplorer, mais pour aller de l’avant avec une dimension d’espérance.
• L’homme, condamné à être libre ? (Prisca Raoilison) pour questionner notre rapport à la liberté.
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