Dieu dans la garde-robe
Le vêtement nous colle à la peau, au sens le plus littéral du terme. S’il est vrai que l’habit ne fait pas le moine, il a en tout cas le mérite d’en dire long sur nous-mêmes et sur notre rapport au monde.
Et si nous pouvions même en faire un objet de méditation théologique ?
Que vous soyez de ceux qui soupirent devant leur armoire le matin ou qui trépignent d’impatience à l’ouverture des magasins, que vous l’éleviez au rang d’objet d’art ou que vous le reléguiez comme une futilité au fond du placard, une chose est certaine : le vêtement… ne laisse pas indifférent ! De jean, de coton ou d’organdi, il nous accompagne dans les petits recoins de notre quotidien comme dans les grands rituels de la vie. Il nous colle à la peau, au sens le plus littéral du terme et, s’il est vrai que l’habit ne fait pas le moine, il a en tout cas le mérite d’en dire long sur nous-mêmes et sur notre rapport au monde. Cela vaut donc peut-être la peine de s’y intéresser d’un peu plus près, non ?
Osons même aller plus loin et faisons-en, le temps de quelques articles, un objet de méditation théologique. Après tout, Dieu n’apparaît-il pas lui-même vêtu dans la Bible ? « Enveloppé de lumière comme d’un manteau », « ceint de force », « revêtu de justice comme d’une cuirasse1 »… La garde-robe du Très-Haut ne manque certes pas de panache ! Ouvrons donc grand les portes de la nôtre et regardons, cintre par cintre, ce que son contenu a à nous dire de Lui.
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1 Psaume 104, Psaume 93, Ésaïe 59:17.
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